Il est des métiers qui ne se pratiquent que par vocation, au risque de s’atteler sans cesse à de rudes et rébarbatives tâches. Ainsi, durant mes pérégrinations dans le sud-ouest algériens, et plus précisément à Timimoun, je rencontre Ba Bihi

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Diverses cultures auréolent les sorciers, devins, et magiciens de forces occultes et aux pouvoirs extraordinaires. El madjous en arabe ou mage en français, dont le nom est issu de la racine latine magus, proviendrait du persan magis, terme qui désignait autrefois les fidèles du culte de Zoroastre : une croyance païenne, vielle de plus de 3700 ans.

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L'antique cité de Frenda, la perle de Tihert (Tiaret) existe depuis l’antiquité. Célèbre pour ses monuments,  et son histoire millénaire, ce fut une terre disputée entre empereurs et conquérants. Cette luxuriante contrée à vocation pastorale se trouve aux portes du Sahara Algérien, rive ouest.

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Crée le 27 mai 1995, le Haut Commissariat de l’Amazighité (HCA), vient consolider la dynamique impulsée par les deux départements universitaires de langue et culture amazigh, qui ont vu le jour respectivement, en 1990 et 1991. Il œuvre depuis, à  la promotion du tamazight en tant que vecteur culturel et pratique langagière.

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Inéluctablement et à l’occasion de l’Aid el Kebir, la journée commence sur un air de hawzi , ô combien familier. Il s’agit d’el qasida « Ibrahim el Khelil » qui décrit les exploits du Prophète Abraham et de son fils Ismail, est une véritable prouesse musicale chanté par l’illustre Abelkrim Dali.

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Le vocable Me- ,»ُمراِبــط« rabet usité de nos jours comme patronyme et subs- tantif en Algérie, tiَre son origine du mot marbût « مربوط », ce qui signifie littéralement celui qui est attache ou lié. Merabet, au pluriel « el mu- râbitûn, » ou Almoravides (selon les sources latines), peut également se traduire par « gens du ribat », un ordre religieux et militaire berbéro-musulman de la première moitié du XIe siècle.

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Le vocable chibani, qui signifie en darja maghrébine personne âgée aux che- veux blancs, tire son origine de l’arabe classique « el ch’ib » qui signifie cheveux blancs, et fait son entrée dans le langage français pour désigner les vieux im- migrés arrivés en France entre les années 1945 - 75, appelées les « Trente Glorieuses », ce qui correspond à la première vague de travailleurs d’origine maghrébine, principalement algérienne.

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Les chantres magrébins de confession juive, ont contribué à enrichir les scènes musicales algériennes, marocaines et tunisiennes avec un style pétrit de brassages. Ils ont fait émerger la musique dite judéo-maghrébine, qui prend racine depuis l’Andalousie perdue, évolue en nord Afrique pour s'exiler (une nouvelle fois) en France.

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La région de la Saoura, limitrophe du Maroc et à cheval entre les Hauts plateaux et les contrés sahariennes de l’ouest de l’Algérie possède, de ce fait, un riche patrimoine musical; où la danse tient une place de choix, au sein de la collectivité. Toujours en communion et dans la mixité (en fonction des circonstances), les danses des femmes de la Saoura relatent une dialectique intrinsèque au mode de vie local.

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La médecine populaire, reléguée de nos jours aux yeux des sociétés dites modernes, à une simple manifestation de superstitions et de croyances, jouit d’un intérêtet et d'un statut important chez les plus traditionalistes. Qu'elle soit analogue à la magie sympathique pour les uns, assimilée à du charlatanisme pour certains, ou encore fiable alternative pour d’autres, elle demeure aujourd'hui, sujette à controverse.

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Les peuplades d’antan vivaient aux rythmes des saisons, et les éléments de la nature étaient aussi craints que vénérés. Ainsi, les mythologies de l’antiquité foisonnent de dieux et de cultes voués à l’eau et à la pluie. Citons parmi les plus connus, Min chez les pharaons, Tlaloc chez les Aztèques, ou encore Zeus, l’emblématique divinité gréco-romaine. Le panthéon berbère n’est pas en reste, et il a également son dieu de la pluie.

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L’histoire de la circoncision nous propulse dans un premier temps, en pleine Égypte antique. Selon l’historien Hérodote (V e siècle avant J. – C.) qui rapporte dans l’une de ses Enquête*, les prêtres égyptiens étaient circoncis au même titre que les éthiopiens, les phéniciens et les cananéens

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